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La plénitude se trouve où mon corps flotte. Sous l'étendue d'oxygène sévit le silence. Ma tête est prisonnière de l'esprit et elle se loge au dessus, dans le tumulte. Prisonnière du passage, l'autre coté du miroir. Choisir son monde maintenant. Entre la burlesque chimérique ennemie ou la tragique réelle amie. La Mort, la Vie. Choisir. Le cœur s'arrête fébrile et on répare les sténoses d'angoisses, les tumultes d'une vie, on shunte les lésines, les métaux on construit des nouveaux ponts. Fébrile on ne respire que par procuration une dérivation d'oxygène. Et on attend. Attendre un nouveau battement, un nouveau cri de vie, un nouveau souffle. La plénitude se trouvera quand mon corps flottera entre le silence et l'étendue d'oxygène. Tendre la main vers la chaîne, recréer les lacs d'amour. Se laisser à la vie.